mardi 17 mars 2009

C'est en blanc et noir...

Aussi dans notre tête. On ne sait plus quoi faire... On l'aime, on l'aime. Mais la douleur est toujours là... D'avoir cru que l'on pouvait tout acheter... Du silence jusqu'à la volupté.
En une danse, il s'est trompé.

Le prix du silence; le prix de l'absence... Même échec, même combat - Au guichet, tu sauras?!
C'est parfois une si belle histoire; c'est parfois si confus de baisers, de caresses, d'instants volés - dans le ciel étoilé de la soie des froufrous voluptueux. On se déchire aussi pour des histoires de billets d'argent sans mots doux... Je l'ai appris à mes dépens; l'amant lâche les bouts de papier sans se retourner - après le Paradis du lit des fées.

Je m'en vais, je m'en vais... Au vent mauvais; au vent doux... Avec regret. C'est juste qu'au jeu, on se perd lorsqu'on perd... Et, l'harmonie des tours peut vite devenir un grand mystère... Si les corrections - par anticipation ou, le plus souvent, malheureusement, en compréhension de dernière haleine! - ne trouvent que peu de sens dans la logique du chacun pour soi, du chacun déçoit... Suivant l'idéologie malsaine d'une exploitation sans secret.
Liberté, liberté vraie... Mais où te caches-tu donc?... Dans l'esprit?... Dans les faits?... Dans une tasse de thé?... Au détour d'un regard de connivence - qui en dit long sur l'importance de certaines relations... L'harmonie des sens, l'harmonie des âmes, l'harmonie des regards, l'harmonie des espoirs... C'est merveilleux, en même temps. Mais non... NON. Tout cela est trop rare, on ne vit qu'un instant... Le reste du temps, on tourne en rond... Blessés que nous sommes par tant d'incompréhension et de trous béants dans les relations...

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