mercredi 31 juillet 2013

http://www.greatsong.net/PAROLES-HERVE-VILARD,CAPRI-CEST-FINI,104177684.html





Paroles de la Chanson : Seras- tu là
Et quand nos regrets viendront danser
Autour de nous nous rendre fous
Seras-tu là ?

Pour nos souvenirs et nos amours
Inoubliables inconsolables
Seras-tu là ?

Pourras-tu suivre là où je vais ?
Sauras-tu vivre le plus mauvais ?
La solitude le temps qui passe
Et l'habitude regarde-les
Nos ennemis dis-moi que oui
Dis-moi que oui

Quand nos secrets n'auront plus cours
Et quand les jours auront passé
Seras-tu là ?

Pour, pour nos soupirs sur le passé
Que l'on voulait que l'on rêvait
Seras-tu là ?
Le plus mauvais
La solitude le temps qui passe
Et l'habitude reqarde-les
Nos ennemis dis-moi que oui
Dis-moi que oui !
La la la la la la
Seras-tu là ?
Seras-tu là ?
______
Autres Chansons de Michel Berger :

Ce que je souhaitais...

... Que nous vivions à une distance acceptable l'un de l'autre afin de poursuivre notre Aventure...

Personne n'a gagné, nous sommes pas mal blessés...

Saurez-vous, à votre tour, être sincère un beau jour???

samedi 27 juillet 2013

Encore dans sa thèse...

"Il traça un cercle pour m'exclure... Hérétique, rebelle, une chose à mépriser;
Mais l'amour et moi avons l'esprit à gagner, nous traçâmes un cercle qui l'inclut" (W. Shakespeare).

Encore... Elle lui écrivait ceci...

Très cher vous,


je me suis tout d'abord rendue compte que des "Stéphanies"... Ne s'arrêtaient pas à des textos ou à des photographies... Jusqu'à séparer les enfants de leurs deux parents!

Franchement, on dirait parfois que je suis Carla Bruni. En ce moment, je discute avec un ami, et tout est dit!
Ça y est, je couche avec le mari. Laissez-moi tranquille, je ne vole aucune vie!... Il est vrai que certain(e)s hommes me trouvent douée et jolie. Je ne le fais pas exprès. Je suis juste coincée entre ma Moune et mon Papounet, qui n'arrivent jamais à se débrouiller! Je réponds; souffrez vraiment, et vous trouverez salutaire le détachement. Les choses de l'enfance sont gravées à jamais...

Après... Les princes charmants, "les pinces gourmands"... Je dirais plutôt de grands enfants fuyants?!
Mais, dites-moi, ça y est, avec toutes ces fiancées, avez-vous enfin trouvé une définition pour la créativité?!
Parce que, les 18 juin, je propose de la fêter autour d'un formulaire à déposer (en CCI?!), indiquant SA définition de la créativité et l'application que l'on pourrait en faire. Il faudrait donner l'avis de quelques spécialistes pour dynamiser le projet. Par la suite, un jury pourrait être désigné afin de classer les meilleures propositions, dont une ou plusieurs serai(en)t mise(s) en œuvre chaque année - le 18 juin, en particulier...

Cela serait génial si nous parvenions à réamorcer le dialogue entre nous, à travers une initiative de la sorte. C'est gage d'équilibre... Il faut du soft et du hard... Et, de bonnes intentions... Pour décliner les passions, le respect et éviter les désillusions, par manque d'honnêteté... Car aimer, ce n'est pas changer l'autre; c'est le conseiller... Le plus tendrement du monde, si on le pouvait.

                                                                                      Bien à vous, votre princesse désarmée.
                                                                                     (Je passe à Rennes et à Monaco cet été...)

PS1/ Désolée; j'ai aussi un peu disjoncté... L'environnement m'a étouffée et je me suis parfois totalement isolée, par dégoût de moi et de tout ce qui m'est arrivé. Je vais voir des voyantes dans l'espoir qu'elles me donnent la recette pour avancer... Je suis en détresse, et cela vous le savez. C'est pourquoi je ne vous demande pas de me pardonner. Sans rien attendre de vous, je tiens juste à vous montrer ma sincérité. De fait, je ressens même parfois de l'admiration car, encore une foi(s), malgré toutes vos responsabilités non assumées (la thèse, le fait d'être papa, etc.), vous avez eu la force et le courage de sortir de vous, pour reconstruire votre voie!... Il peut être, en effet, parfois plus difficile de partir que de rester; car c'est, quelque part, se redonner pas mal de liberté pour, sans doute, mieux vivre (et mieux donner?!...).


PS2/ Je ne fais pas forcément de la bouillie de toutes mes relations. Je fais juste ce que je dis... Et vous, en amant maladroit, vos relations avec les femmes, c'est toujours la baraka?!

Partir... Paraît-il que cela fait partie de mon karma... Comme toi... Lorsque tu me parles de là-bas... Saint-Léonard de Noblat... Les liens du sang... Avec la Manufacture des tabacs...
Me poser, pour découvrir une nouvelle ville et se guérir de trop voyager... Il est vrai que l'on se rend toujours auprès de la parenté... Mais sans changer d'avis comme de chemisier et sans coup de tête, avec l'âge, tout ce stress et le fait de n'être bien qu'exilée, laissent penser que l'adaptation peut sauver de bien mauvaises intentions!...
Malgré tout, plus je ressens cette oppression, moins je parviens à nous donner du temps à partager!

En attendant de trouver une meilleure solution, nous pouvons toujours communiquer (nos corps l'ont souvent fait avec succès!...) - même si je sais que je ne mérite toujours pas votre respect.



Après tout, chacun, aussi, est libre de comprendre (ou pas) ma poésie! Le respect mutuel et l'honnêteté, les deux piliers du bonheur... Pour commencer.

Des couleurs, de la musique et le mouvement incessant des flots.

De la vie à la mort...

La chevelure est en fleur, comme elle peut se faner, avec toutes les larmes de son bien-aimé...

                                                                                                               Sandy Dard


La fleur des eaux

L'air est plein d'une odeur exquise de lilas,
Qui, fleurissant du haut des murs jusques en bas,
Embaument les cheveux des femmes.
La mer au grand soleil va toute s'embraser,
Et sur le sable fin qu'elles viennent baiser
Roulent d'éblouissantes lames.
O ciel qui de ses yeux dois porter la couleur,
Brise qui va chanter dans les lilas en fleur
Pour en sortir tout embaumée,
Ruisseaux, qui mouillerez sa robe,
O verts sentiers,
Vous qui tressaillirez sous ses chers petits pieds,
Faites-moi voir ma bien-aimée!
Et mon cœur s'est levé par ce matin d'été;
Car une belle enfant était sur le rivage,
Laissant errer sur moi des yeux pleins de clarté,
Et qui me souriait d'un air tendre et sauvage.
Toi que transfiguraient la Jeunesse et l'Amour,
Tu m'apparus alors comme l'âme des choses;
Mon cœur vola vers toi, tu le pris sans retour,
Et du ciel entr'ouvert pleuvaient sur nous des roses.
Quel son lamentable et sauvage
Va sonner l'heure de l'adieu!
La mer roule sur le rivage,
Moqueuse, et se souciant peu
Que ce soit l'heure de l'adieu.
Des oiseaux passent, l'aile ouverte,
Sur l'abîme presque joyeux;
Au grand soleil la mer est verte,
Et je saigne, silencieux,
En regardant briller les cieux.
Je saigne en regardant ma vie
Qui va s'éloigner sur les flots;
Mon âme unique m'est ravie
Et la sombre clameur des flots
Couvre le bruit de mes sanglots.
Qui sait si cette mer cruelle
La ramènera vers mon cœur?
Mes regards sont fixés sur elle;
La mer chante, et le vent moqueur
Raille l'angoisse de mon cœur.

La mort de l'amour

Bientôt l'île bleue et joyeuse
Parmi les rocs m'apparaîtra;
L'île sur l'eau silencieuse
Comme un nénuphar flottera.
À travers la mer d'améthyste
Doucement glisse le bateau,
Et je serai joyeux et triste
De tant me souvenir bientôt!
Le vent roulait les feuilles mortes;
Mes pensées
Roulaient comme des feuilles mortes,
Dans la nuit.
Jamais si doucement au ciel noir n'avaient lui
Les mille roses d'or d'où tombent les rosées!
Une danse effrayante, et les feuilles froissées,
Et qui rendaient un son métallique, valsaient,
Semblaient gémir sous les étoiles, et disaient
L'inexprimable horreur des amours trépassés.
Les grands hêtres d'argent que la lune baisait
Étaient des spectres: moi, tout mon sang se glaçait
En voyant mon aimée étrangement sourire.
Comme des fronts de morts nos fronts avaient pâli,
Et, muet, me penchant vers elle, je pus lire
Ce mot fatal écrit dans ses grands yeux: l'oubli.
Le temps des lilas et le temps des roses
Ne reviendra plus à ce printemps-ci;
Le temps des lilas et le temps des roses
Est passé, le temps des œillets aussi.
Le vent a changé, les cieux sont moroses,
Et nous n'irons plus courir, et cueillir
Les lilas en fleur et les belles roses;
Le printemps est triste et ne peut fleurir.
Oh! joyeux et doux printemps de l'année,
Qui vins, l'an passé, nous ensoleiller,
Notre fleur d'amour est si bien fanée,
Las! que ton baiser ne peut l'éveiller!
Et toi, que fais-tu? pas de fleurs écloses,
Point de gai soleil ni d'ombrages frais;
Le temps des lilas et le temps des roses
Avec notre amour est mort à jamais.


M. Bouchor (composition pour voix et orchestre d'E. Chausson, écrite entre 1882 et 1892).

A mon père...

Comme pour dire bonsoir à la lune
Le drapeau ondule
En hommage posthume...
Un dernier P majuscule.



Parmi les cyprès
Les croix sont alignées...
Au garde-à-vous
Face à un remue-ménage flou;




Vent
Ombres et lumières
L'immobilisme séculaire
Des pierres tombales en repère.





Le cliquetis...
Les casques des soldats partis!
Une ombre de vie...
Qui, de la mort, surgit...
La peur des vivants...
Offrir un miroir... De la glace, en remerciement.

Rêver...

Un ressort orangé;
La roche se colore de bougainvilliers...
Et les va-et-vient "casqués" d'une tradition séculaire enrochée...
Témoins de la principauté.
Vasarely témoigne, aussi... D'un enchevêtrement régulé; en quatorze nuances décliné.


Prendre le frais...

... Au lac de Vassivière...

vendredi 26 juillet 2013

Et de son côté...

... Elle avait envoyé ceci à son Petit Prince imaginaire meurtri...
... Disparu? En quête de vertu?!...



Encore des écrits... Cela ne sert à rien. Tout est dit?!...

... Les petits, les grands et les mauvais garçons?!...


Pour faire rêver les petites filles...


lundi 22 juillet 2013

Un vase...

... A Limoges?????????

dimanche 14 juillet 2013

Joyeux 14 juillet à tous!!!

Dans votre lit douillet???

Seul ou en compagnie...

Mon chéri se lasse de tout et de n'importe qui...

Cela peut coûter une vie!

Et je meurs à petit feu de ne plus parvenir à briller, aussi!

Toutefois, les étoiles sont déjà mortes lorsqu'on les voit...

Je te ressemble aussi... Sans parvenir à se projeter, on ne peut s'attacher! On peut rester amis...

samedi 13 juillet 2013

Ordi un peu poussif...

A quand le Mac?????? Dans une autre vie...

Non non... Pas avant le HS...

Toc troc toc troc...

Cash converters... Rue Saint Ursule... Des bons d'achat!...

jeudi 11 juillet 2013

Je ne suis pas...

... La boulangère!!!

mercredi 10 juillet 2013

En plus... Avec la chaleur... J'ai des hallucinations...

Je ne cesse de croiser d'anciens potes d'aventures...

Vous savez quoi...

Je vais organiser  - avec l'aide d'associations - un Harlem Shake poétique le 22 mars prochain place Arnaud Bernard à Toulouse...

Si vous étiez là, ce serait un super clin d’œil... Poétique???

Enfin... Certains sont si éloignés...


A l'Amitié.

Hier?!

Je me suis à nouveau transformée en "gourde"...

La mer rouge a noirci et les vins de Château Cheval Blanc à Saint Emilion ont blanchi...

mardi 9 juillet 2013

Il fait si chaud!

Et encore et toujours... Ces maux de ventre...

jeudi 4 juillet 2013

...

http://www.parolesmania.com/paroles_jean-jacques_goldman_9145/paroles_au_bout_de_mes_reves_322353.html

Il s'est enfui...

J'ai juste dit/ "Lorsque je me projette, dans cet avenir vous y êtes"...

...

http://www.paroles-musique.com/paroles-Sinsemilia-Tout_Le_Bonheur_Du_Monde-lyrics,p554

lundi 1 juillet 2013

Pourquoi m'a-t-on offert un cerveau qui fonctionne trop???

... Si c'est pour être scotchée à ma remé par nécessité?!...

L'espoir fait vivre, svp...

La liberté???

Nous pouvons sans doute l'augmenter par la sincérité...

Ce n'est pas encore le bon moment...

... Pour dessiner un énorme cœur avec deux elles du bonheur!...