lundi 23 décembre 2013

samedi 21 décembre 2013

Voir tous les clips Eddy Mitchell

Paroles et traduction de «Les vrais heros»

Superman
Ce justicier intersidéral
Sauve la planète, c'est banal, fatal
Son truc: c'est la guerre spatiale
C'est bien normal

Spiderman
Aime les collants , se faire une toile
Secourir , protéger , sauver
La veuve , l'orphelin ou le banquier
C'est son métier

Mais les héros
Les vrais héros
D'aujourd'hui ne sont pas macho
Voyagent en bus, en car, en train ou en métro
Prennent sur eux, ils portent "beau"
Cherchent du boulot

Oh!oh!oh!
On a besoin d'ces héros
Pour nous sortir des ghettos
Pas de mégalos
Qui en font de trop
Nous on veut des vrais héros

 
Publié par , le 22 novembre 2013, 11:52

...

L'idole des jeunes

by Johnny Hallyday


Les gens m´appellent l´idole des jeunes
Il en est même qui m´envient
Mais ils ne savent pas dans la vie
Que parfois je m´ennuie

Je cherche celle qui serait mienne
Mais comment faire pour la trouver
Le temps s´en va, le temps m´entraîne
Je ne fais que passer.

Dans la nuit je file tout seul de ville en ville
Je ne suis qu´une pierre qui roule toujours
J´ai bien la fortune et plus et mon nom partout dans la rue
Pourtant je cherche tout simplement l´Amour

Plus d´une fille souvent me guettent
Quand s´éteignent les projecteurs
Soudain sur moi elles se jettent
Mais pas une dans mon cœur.

Dans la nuit je file tout seul de ville en ville
Je ne suis qu´ une pierre qui roule toujours
Il me faut rire et danser et le spectacle terminé
S´en aller ailleurs au lever du jour

Les gens m´appellent l´idole des jeunes
Il en est même qui m´envient
Mais s´ils pouvaient savoir dans la vie
Combien tout seul je suis
Combien tout seul je suis.

SIRIMA...

Artist: Jean-Jacques Goldman
Album: Entre Gris Clair Et Gris Foncé
Année: 1987
Titre: Là-bas

Télécharge "Là-bas" sur ton portable

Parole de Là-bas:
Là-bas
Tout est neuf et tout est sauvage
Libre continent sans grillage
Ici, nos rêves sont étroits
C'est pour ça que j'irai là-bas

Là-bas
Faut du coeur et faut du courage
Mais tout est possible à mon âge
Si tu as la force et la foi
L'or est à portée de tes doigts
C'est pour ça que j'irai là-bas

N'y va pas
Y'a des tempêtes et des naufrages
Le feu, les diables et les mirages
Je te sais si fragile parfois
Reste au creux de moi

On a tant d'amour à faire
Tant de bonheur à venir
Je te veux mari et père
Et toi, tu rêves de partir

Ici, tout est joué d'avance
Et l'on n'y peut rien changer
Tout dépend de ta naissance
Et moi je ne suis pas bien né

Là-bas
Loin de nos vies, de nos villages
J'oublierai ta voix, ton visage
J'ai beau te serrer dans mes bras
Tu m'échappes déjà

Là-bas
J'aurai ma chance, j'aurai mes droits
N'y va pas
Et la fierté qu'ici je n'ai pas
Là-bas
Tout ce que tu mérites est à toi
N'y va pas
Ici, les autres imposent leur loi
Là-bas

Je te perdrai peut-être là-bas
N'y va pas
Je me perds si je reste là
Là-bas
La vie ne m'as pas laissé le choix
N'y va pas
Toi et moi, ce sera là-bas ou pas
Là-bas
Tout est neuf et tout est sauvage
N'y va pas
Libre continent sans grillage
Là-bas
Beau comme on n'imagine pas
N'y va pas
Ici, même nos rêves sont étroits
Là-bas
C'est pour ça que j'irai là-bas
N'y va pas
On ne m'a pas laissé le choix
Là-bas
Je me perds si je reste là
N'y va pas
C'est pour ça que j'irai là-bas

N'y va pas...

...

Sage
Or
Libre
Innovante
Déconcertante
Eclairée
Loyale
Lauréate
Ailée

Serpent à sornettes...

Il naît à personne
Et comme je n'existe pas
Il est mon Homme?!...

Deux pitchs en préparation...

On verra bien à l'évaluation!...

mercredi 18 décembre 2013

Chuuuuuuuuuttttttttttt!!!!!

J'attends la fin de l'année du serpent pour exister...

mardi 17 décembre 2013

On me fait du lèche pour les élections...

... Moi je vote pour la liberté!!!!

Bleu, blanc, rose? C'est vous qui voyez.

De la poésie dans les confettis!.......

lundi 16 décembre 2013

Harlem Shake des mots...

La poésie est-elle dans tout? Qu'en pensez-vous?

Dans les traits d'une personne, dans une main tendue, dans le sourire d'un enfant, un baiser, un parfum, une ligne de vêtement, ...

Merci aux "bloggers" du Penchant pour leur participation!
Tout un chacun peut s'exprimer...

jeudi 12 décembre 2013

"Etre humain...

... C'est aimer les hommes. Être sage, c'est les connaître" (Confucius).

mardi 10 décembre 2013

Harlem shake des mots...

Pour Madiba, la poésie, c'était avant tout l'inspiration...

Out of the night that covers me,
Black as the pit from pole to pole,
I thank whatever gods may be
For my unconquerable soul.

In the fell clutch of circumstance
I have not winced nor cried aloud.
Under the bludgeonings of chance
My head is bloody, but unbowed.

Beyond this place of wrath and tears
Looms but the Horror of the shade,
And yet the menace of the years
Finds and shall find me unafraid.

It matters not how strait the gate,
How charged with punishments the scroll,
I am the master of my fate :
I am the captain of my soul.

William Ernest Henley - 1875 - écrit sur un lit d'hôpital après une amputation du pied (il survécut jusqu'en 1903).

Acrostiches

Elan
Lyre
Libre
Aile



Gifle
Etoile
Or
Rire Rougir Rêver (?!)
Gland Grand
Ecorché
Serpent Sans Sens Sandy (!?)

...

http://www.parolesmania.com/paroles_edith_piaf_2574/paroles_laccordeoniste_396844.html


http://fr.lyrics-copy.com/marc-lavoine/je-ne-veux-quelle.htm


http://www.parolesmania.com/paroles_florent_pagny_4382/paroles_vieillir_avec_toi_1822495.html

Vanilla sky

http://www.parolesmania.com/paroles_raiponce_66346/paroles_je_veux_y_croire_1137745.html

jeudi 5 décembre 2013

Un autre must (poétique?)...

Lorsque le petit Prince accepte l'invitation de sa Princesse...

On bouleverse les codes tout en gardant l'essentiel; la complicité, les sentiments, ...

Il y a ceux qui ont du tact...

Et puis, les autres...

Avec Nabilla?!...

A pile ou face... Cela suffira.

mercredi 4 décembre 2013

Faire l'Amour?

Avec qui? Avec quoi?

Toutes les femmes ne sont-elles que des objets pour toi?

J'aurais dû dire à mon petit Luisit o: "pour cela, il pourrait même l'oublier...".

Je ne dirai plus rien. C'est à toi à assumer... Mais le diable ne fait que triompher!

L'Amour rend idiot...

C'est triste!

L'être cher nous manque tellement dans notre chair que l'on irait jusqu'à l'empêcher de vivre!...

mardi 3 décembre 2013

Si vous pouviez cesser de me torturer à travers ce jeu...

... Qui ne me semble guère poétique!...

Pour une fois, vous me respecteriez...

lundi 2 décembre 2013

Harlem shake des mots

Une poésie de poésie...

Au détour d'un chemin de vie
Des idées s'envolent.
Comme par magie
Un vers les recolle.

A mesure que nos âmes voyagent
Les mots donnent du sens au partage.
Et, le rêve de devenir réalité...
Tout en correspondances souhaitées.

La force de combinaisons inédites...
Qui nous transportent, qui nous habitent.
Telle une rebelle éconduite,
J'incite à la fuite.

Après l'épreuve du miroir,
On se libère au parloir.
De retrouver le cheminement de ses pensées...
Tout en rimes, décliné.

dimanche 1 décembre 2013

vendredi 29 novembre 2013

Dimanche 1er décembre, rendez-vous avec le poète Padrig Moazon - Journal des penchants du roseau

Dimanche 1er décembre, rendez-vous avec le poète Padrig Moazon - Journal des penchants du roseau

Mais qui es-tu sombre, vil, sans scrupules et malfaisant personnage???

Vous avez sans doute rencontré dans votre vie des petits êtres adorables, qui donnaient tout sans rien demander... Des êtres de lumière, des anges gardiens, qui n'existaient à vos yeux que pour les humilier, que pour les rendre tristes et désœuvrés... Ce n'est pas tolérable! Pour qui vous prenez-vous? Votre arrêt de mort est depuis bien longtemps signé, Monsieur le serpent endiablé!...

mercredi 27 novembre 2013

Pourtant, c'est assez simple...

On ne respecte vraiment que ceux qui nous respectent.

Et les plus intelligents détectent la réalité ou la fausseté des sentiments...

"La meilleure???"...

Plus qu'à le prendre au mot?!...

mardi 26 novembre 2013

Dimanche 1er décembre, rendez-vous avec le poète Padrig Moazon - Journal des penchants du roseau

Dimanche 1er décembre, rendez-vous avec le poète Padrig Moazon - Journal des penchants du roseau

On oublie tout... On oublie rien!

Après toute réussite, on oublie ses échecs...
Encore un magicien?!
Là, je n'y crois pas trop puisque les défauts reviennent bien souvent au galop!

J'avais laissé un carton devant ma porte...

... Pour préparer des décors de Noël,
pour les petits anges dont s'occupe ma maman.
Disparu!
Les gens sont méchants...

- 42°C au Centre du Canada...

Je l'ai échappé belle... Je crois.

Eh bien, je n'y suis pas arrivée!...

A m'aimer
A changer
Plus rien à fêter...
Et pourtant, à force d'y croire, on s'y est épuisé.
A force de ne pas le mériter...
Il nous manque à jamais...
Jusqu'à mourir d'envie de lui.
Un seul être... Pour se raccrocher à la Vie.
On ne peut le dire... Trop de fierté.
On essaie de l'écrire... A jamais effarouchée...
Sans cette nuit, sans avoir vraiment fait l'Amour avec lui...
Je ne pourrai mourir en paix...
La certitude de la nécessité!

lundi 25 novembre 2013

Harlem Shake des mots

Lire des poèmes et inciter via les réseaux sociaux à proposer sa vision personnelle de l'environnement poétique. Sur Facebook, l'auteur de l'évocation la plus plébiscitée recevra mon premier recueil de poésie (Sandy Dard, "Le petit guide poétique du promeneur ordinaire", Le Manuscrit).


dimanche 24 novembre 2013

jeudi 21 novembre 2013

mercredi 20 novembre 2013

...

Une petite chansonnette qui trotte dans ma tête....

Trouver la rime pour trouver le repos!

Et venez au "Harlem Shake des mots"...

IL FAIT SI FROID...

ALORS... Comment fait-on pour revenir en arrière???


mardi 19 novembre 2013

Coucou... C'est à nouveau SIRENA...

On m'a encore offert tout cela.

Mériterai-je un jour ce bonheur auquel je ne crois pas?!

Passer le Cap de Bonne Espérance... Ou pas.

Et pour vous, la poésie, c'est aussi cela????????....

Il ne faut pas rêver...

... LE KERALA...


Un autre must... Du vin amérindien... Je crois que ça n'existe pas!...


Moi aussi, parce que quelque part, je n'assume pas, je pars très souvent parfois!...


lundi 18 novembre 2013

On m'a envoyé cela...

http://www.apiguide.net/images/bird.swf


Est-ce toi???

;;;

http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/tristan_corbiere/gente_dame.html

Amoureux d'un oiseau???

Mon modèle Samsung; Wave Y...

jeudi 14 novembre 2013

Sinon...

Je réponds...

Je n'ai plus trop de nouvelles...

Je n'ai plus trop de nouvelles...

J'ai appris la danse indienne...

... Pour charmer les serpents.

Pourrais-je pleurer de joie???

You solve a problem and a hundred disappear...

mercredi 13 novembre 2013

...

"(l)e plus souvent, c'est dans le génie des poètes que j'ai retrouvé la paix, et pourtant, qu'y a-t-il de plus révolté que la poésie?" (Cueille le jour, R.Morgiève, 1994, p.40).

Harlem shake

Un voyage au pays des mots...

lorsque l'inspiration ou son manque invite à se déplacer...

A changer d'environnement et d'encrier.

"Les mots tels des miroirs renvoient de belles armes" (Sandy Dard).

Contre la guerre, la souffrance...

Pour la paix, dans tous les sens!

Un maître mot: le ressenti.

...

http://www.parolesmania.com/paroles_amel_bent_4388/paroles_sans_toi_1814156.html

http://www.parolesmania.com/paroles_liane_foly_70639/paroles_on_a_tous_le_droit_1210913.html


http://www.chartsinfrance.net/Natasha-St-Pier/id-113876385.html

Paroles mania...

http://musique.ados.fr/Julien-Clerc/Coeur-De-Rocker-t14813.html

Puisque l'on est fous...

Puisque l'on est amoureux...

Puisque l'on s'en fout...

On est juste deux...

On est juste Nous...

Nous deux dans ce jeu...

C'est la fête à Brest...????????

On fait la ronde avec les bonnets rouges?????

mardi 12 novembre 2013

Merci merci mes amis!!!

Cela commence à buzzer...

Encore beaucoup à apprendre. C'est trop tôt pour en parler!

Harlem Shake des mots ou comment redéfinir pendant dix minutes la réalité en rêve tout éveillé?!...

vendredi 8 novembre 2013

La plupart des rencontres...

... sont inintéressantes!...

jeudi 7 novembre 2013

Dis lui...

Je suis là, mon ami...

Tu es ma plus belle...

Comme il y en a trop...

J'ai choisi.

C'est toi ma vie.

Je m'aime en toi...

C'est tout dit.

Répétez 10 fois... After me...

Je suis plutôt infidèle.
Je ne respecte rien ni personne.
J'aime ma fille.
Je suis un serpent qui brille...

Peut-être que je comprends un peu mieux...

C'est pour cela que je n'ai jamais trop voulu m'engager moi non plus!

mercredi 6 novembre 2013

Harlem shake des mots...



On m'a déjà parlé de "symboles entre ciel et terre"... Qu'en pensez-vous?
L'auteur de la définition de la poésie la plus plébiscitée sur Facebook (Likez!) recevra le 22 mars ou par courrier "Le petit guide poétique du promeneur ordinaire" (Le Manuscrit). Mon premier recueil de poèmes publié... Où je décline des situations vécues au quotidien sous forme poétique... Le lectorat peut être très varié au vu de cet essai de démocratisation de la forme poétique, appliquée aux chemins tortueux de l'existence, du vivant et de l'Humanité.

Donc... A vos méninges, à vos claviers!...

mardi 5 novembre 2013

...

Je suis, pour ma part, assez d'accord avec l'Asso Passa'tge qui parle d' "une arme"...
En tant que vecteur par excellence d'une liberté d'expression, la poésie permet de jouer avec les mots tout en étant en phase avec soi-même; le reflet d'une personnalité tant dans la forme que dans le fond.
Si l'environnement nous plaît, pourquoi ne pas s'y essayer, avec pour seul mot d'ordre l'inspiration?!...

lundi 4 novembre 2013

Harlem shake des mots

Tout un chacun peut participer.
Les enfants aussi...

C'est aussi l'occasion de leur demander pourquoi ils apprécient telle ou telle comptine, quel plaisir ils éprouvent dans la récitation,...
Une petite écolière disait à Louise Michel que "la liberté, c'était comme une petite souris grise avec de grandes oreilles"...

...

http://www.paroles.net/florent-pagny/paroles-les-murs-porteurs

Entre campagne, mer et montagne...

Comment trouver le chemin de la sérénité? Complicité, respect, fidélité, sincérité...

4S... Je me suis encore trompée!

En Finlande...

"L'amour est un jardin fleuri et le mariage un champ d'orties".


vendredi 25 octobre 2013

L'été...

... De la Saint indien?!...

jeudi 24 octobre 2013

Harlem Shake des mots

Le 22 mars 2014

à 15H30

Place Arnaud Bernard

TOULOUSE


Sur un ou des ballons, pouvez-vous noter un mot, une phrase, etc., qui évoque voire définit pour vous la poésie?

dimanche 20 octobre 2013

Je vais très très mal...

Ne m'aidez pas... Je ne le mérite pas!

jeudi 17 octobre 2013

mercredi 16 octobre 2013

Et l'ulcère qui revient...

... Ce n'est pas malin!

Je suis en sursis, je le sais bien.

11H30, Bog cafett", ce vendredi; cela vous dit???

mardi 15 octobre 2013

Pt-être en enfer...

... Ne plus remuer le couteau dans la plaie!

J'ai tout donné et encore ce n'est pas assez.

Dans un an, dans un jour, j'aurais tout vécu... Et puis, alors, disparaître... Sans son dû.

Peut-être se poser dans une ville inconnue, pour renaître.

Je ne sais... Je n'ai pas encore essayé! Il le sait.

J'ai sans doute découvert l'Amour avec lui. Mais sans confiance et sans espoir, où est la Vie???

Cela fait si mal lorsque ce n'est pas banal... De se dire que l'on n'aura plus ce partage idéal.

Il trouve toujours autre chatte à son pied. Moi, l'Amour, je n'ai jamais su l'accepter.

Un "au revoir" bien mérité... Nous n'avons jamais su nous parler. 69 foi(s)... Nos corps ont bien joué.

Il avait juste dit un jour; "je te garderai une place dans ma bouche"...

Sous-entendu louche... "Lorsque tu iras mieux". C'est pour toujours que je le veux.


lundi 14 octobre 2013

Qu'en pensez-vous ?

Oscar Wilde disait : "Il faut toujours viser la lune, car même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles".


jeudi 10 octobre 2013

Il faut essayer de ne pas mentir...

A ceux qui ne sont là que pour vous aider... A ceux qui n'ont pas d'autre intérêt que de vous aimer et de se laisser aimer de vous!...

Quelques conseils d'amis...

Changer de laboratoire de rattachement... Il y a de l'eau dans le gaz municipal...
Des serpents s'affairent pendant que vous roucoulez... Banal!

Faire quelque chose sans intérêt...

Visiterai-je un jour Paimpol...

...... En brouette japonaise???!..........

mercredi 9 octobre 2013

J'écris pour celui qui veut me lire...

Le premier pour la maman mamy, le troisième (et le dernier) pour le papa papy...


Rahhhlllllllaaaaalalla!!!! Ces hommes... Toujours aussi féconds...

Est-ce qu'un jour le mien se débandera pour de bon?????

lundi 7 octobre 2013

Aujourd'hui...

Dans ma famille, j'ai appris que l'on pouvait encore enfanter à l'âge de 48 balais... Le papa 52 et le papy 83...

Eh bien, la vie a triomphé! Peut-être, un jour aurais-je, dés lors, un Bibou vanille au chocolat?!...

Plus que 8 mois d'enfer... Et me voilà... En apesanteur sur Jupiter!

Où es-tu mon petit prince tant attendu???

samedi 5 octobre 2013

La vie d'artiste?!

Épuisante... Aujourd'hui, au boulot jusqu'à 19H30.

Sur les genoux... Mais D'étudiantes les plus belles...

On fait ce que l'on peut, on va jusqu'au bout; et puis l'on importe des prototypes là où l'environnement est plus doux???!!! Là où  les proches sont plus présents, malgré tout?!

jeudi 3 octobre 2013

LADY DI...

Route 7... Née à Sandringham.

mardi 1 octobre 2013

L'éternité de nos moments?!...


...














...









Et des souvenirs...


Maples...

I bought tea too, there.

Ma chanson du rayon de soleil

A percer la lande nuageuse
qui es-tu, pour éveiller la foule paresseuse?
De là-haut...
Tu colores la peau.
De là-haut...
Tu réchauffes les animaux.
Après la pluie...
Un rainbow.


De là-haut...
Le feu brûle,
juste ce qu'il faut!
De là-haut...
Qui rosit le bleu marine,
en se posant en crème glacée jusqu'à fondre...
Sur l'eau...
Où l'environnement qui lui offre son repos?!...
Rayonner!
Réchauffer!
De là-haut...
Le moral est au beau.
Assécher...
Assoiffer...
C'est l'or qui n'est plus que du faux.


A Cadillac...
Tu te lèves le premier...
Près du lac,
l'aigle peut t'apprivoiser.
Au zénith,
Au coucher,
la forme ne change pas...
La couleur... Oui...
C'est un rayon de joie.
Avec les saisons,
tu nous tournes le dos...
Ou bien, tu nous souris, tu ris sans raison...
Jusqu'à t'installer comme il faut.

Rouge
Aube
Yeux
Oubliés
Néons déclinés...


Au ciel gratté,
des reflets dorés...
Chantent en mouvements de réversibilité.
La forêt écoute...
Elle associe des couleurs à ce chant.
Elle vit, meurt...
Comme la sève suit le mouvement.
Tous égaux...
Face à cet élément.
Il fait des bêtises
Dans l'évaporation...
Mais quoi que l'on en dise,
on connaît la chanson.
Pas de faux accords...
Dans la modération.
Ce poème n'est pas une incantation.
Apprécions cette mélodie...
... De la lumière en rayons.

...

FIER

REBELLE

ETREINTE

ELAN

DOUX

OEUF

MÉRITE
///

///

///

LIBERTAD

OR

VACACIONES

ETERNIDAD

dimanche 29 septembre 2013

La mer m'inspire, la mer m'apaise...

comme elle le disait, des femmes havanaises...

"Un groupe de pêcheurs se trouvaient plongés jusqu’aux genoux dans les eaux glacées, le sarong retroussé jusqu’à la taille, les fesses brillantes. Ils jetaient très loin les filets à travers lesquels le soleil égouttait ses splendeurs." (l’Éternité de l'instant, Zoé Valdès, mars 2007)

http://zoevaldes.skyrock.com/1705359990-Etats-provisoires-du-poeme-VIII-LA-DEMEURE-ET-L-EXIL.html

L'écriture; un combat...

Pour être en phase avec son monde, pour être en phase avec son Moi.

Moi?

Je ne veux que la paix...

?...

Men are the best medicine for men???...

Il y en a qui sautent sur tout ce qui bouge...

... Il y en a qui bougent aux quatre coins du monde...


Chacun son trip!!!

mardi 17 septembre 2013

lundi 16 septembre 2013

J-...

http://www.parolesmania.com/paroles_celine_dion_67/paroles_pour_que_tu_maime_encore_1392095.html

http://fr.lyrics-copy.com/diams/laisse-moi-kiffer.htm

Je pars au pays des matins magiques...

Je reviendrai peut-être le cœur plein de nouvelles couleurs!...

dimanche 15 septembre 2013

J-3...


Where?

Paroles de la chanson Mon dieu :
Mon Dieu! Mon Dieu! Mon Dieu!
Laissez-le-moi
Encore un peu
Mon amoureux!
Un jour, deux jours, huit jours...
Laissez-le-moi
Encore un peu
A moi...


Le temps de s`adorer
De se le dire
Le temps de se fabriquer
Des souvenirs.
Mon Dieu! Oh oui... mon Dieu!
Laissez-le-moi
Remplir un peu
Ma vie...


Mon Dieu! Mon Dieu! Mon Dieu!
Laissez-le-moi
Encore un peu
Mon amoureux
Six mois, trois mois, deux mois...
Laissez-le-moi
Pour seulement
Un mois...


Le temps de commencer
Ou de finir
Le temps d`illuminer
Ou de souffrir
Mon Dieu! Mon Dieu! Mon Dieu!
Même si j`ai tort
Laissez-le-moi
Un peu...
Même si j`ai tort
Laissez-le-moi


Encore...

samedi 14 septembre 2013

Elle m'a dit...

Pour ton dernier kiffe...

Tu fais au moins péter les trois étoiles!

Eh bien... Il y en a même quatre... A Agra??? J'ai demandé le Taj, mais il n'est pas pour moi...

A Cuba??? Ils ne me répondent pas...

Alors, j'ai demandé au Petit prince... Tu sais Cendrillon il y a ces tongs... Tu dois les rapporter à Sydney...

Personne n'en veut... En plus, ce n'est pas la bonne pointure pour celui que tu veux!

Très Très bien... Avant favorite, amie, maîtresse frustrée, souffre-douleur...

Depuis... Je tente un retour vers la réalité... Le chemin sera long et difficile, je le sais.

Je doute déjà de moi avant de commencer... Le 22 mars, venez nombreux m'encourager!!!

Je te parle...

... Parce que j'ai créé ce blog pour toi...

Alors que tu refuses de communiquer normalement avec moi:)

...

http://www.fichedeprepfacile.com/IMG/protege/form4/crire_un_poeme_africain.pdf

J-4

INTERNET A CUBA

INTERNET A CUBA

INTERNET A CUBA

INTERNET A CUBA

INTERNET A CUBA

INTERNET A CUBA

INTERNET A CUBA

INTERNET A CUBA

INTERNET A CUBA!!!!!!


Et plus de vendredi 13, por favor... La chance m'oublie toujours!!!

vendredi 13 septembre 2013

J-5

Retour pour le week-end dans la chambre noire...

Nuit blanche en perspective... Un chien oublié hurle à la mort dans l'appartement d'à-côté!

Cela serait presque trop simple...

Je ne sais pas...

Mais je reste sereine... Puisque même "la plus belle" ne vous aura pas:))))))

jeudi 12 septembre 2013

J-6

Artist: Michel Sardou
Album: La Vieille
Année: 1975
Titre: Je Vais T'aimer

Télécharge "Je Vais T'aimer" sur ton portable

Je Vais T'aimer Video: La Vieille Paroles
Parole de Je Vais T'aimer:
A faire pâlir tous les Marquis de Sade
A faire rougir les putains de la rade
A faire crier grâce à tous les échos
A faire trembler les murs de Jéricho
Je vais t'aimer

A faire flamber des enfers dans tes yeux
A faire jurer tous les tonnerres de Dieu
A faire dresser tes seins et tous les Saints
A faire prier et supplier nos mains
Je vais t'aimer

Je vais t'aimer
Comme on ne t'a jamais aimée
Je vais t'aimer
Plus loin que tes rêves ont imaginé
Je vais t'aimer je vais t'aimer

Je vais t'aimer
Comme personne n'a osé t'aimer
Je vais t'aimer
Comme j'aurais tellement aimé être aimé
Je vais t'aimer je vais t'aimer

A faire vieillir à faire blanchir la nuit
A faire brûler la lumière jusqu'au jour
A la passion et jusqu'à la folie
Je vais t'aimer je vais t'aimer d'amour

A faire cerner à faire fermer nos yeux
A faire souffrir à faire mourir nos corps
A faire voler nos âmes aux septièmes cieux
A se croire morts et faire l'amour encore
Je vais t'aimer

Je vais t'aimer
Comme on ne t'a jamais aimée
Je vais t'aimer
Plus loin que tes rêves ont imaginé
Je vais t'aimer je vais t'aimer

Je vais t'aimer
Comme personne n'a osé t'aimer
Je vais t'aimer
Comme j'aurais tellement aimé être aimé
Je vais t'aimer je vais t'aimer

Chuuuuuuuuuuuuttttt!!!!!

Nous sommes protégés par des écureuils et des papillons!...

mercredi 11 septembre 2013

J-7...


J'ai mal de toi...

Cuba, quiero bailar la salsa
Cuba, quiero bailar la salsa
Cuba, quiero bailar la salsa
Cuba, quiero bailar la salsa

Cuba, quiero bailar la salsa
Cuba, quiero bailar la salsa

You dance to the music
Like nobody does
The first time I saw you
I knew it was love

My heart is on fire
The night is divine
My only desire
Is making you mine

Cuba, quiero bailar la salsa

When you're in motion
You seem not to care
You hide your emotions
Your joy your despair

Your the one that I want
Heart of Love
Your the one
Yes you are

Cuba, quiero bailar la salsa
Cuba, quiero bailar la salsa
Cuba, quiero bailar la salsa
Cuba, quiero bailar la salsa
Cuba, quiero bailar la salsa
Cuba, quiero bailar la salsa

Amor plat'onico...


Télécharge la Sonnerie de "Hasta Siempre"

Interprete : NATHALIE CARDONE

Langue : Espagnol
Genre : Indefini
Année : 1998




Texte :

Aprendimos a quererte
Desde la historica altura
Donde el sol de tu bravura
Le puso cerca la muerte

Aqui se queda la clara,
La entranable transparencia
De tu querida presencia
Comandante Che Guevara

Vienes quemando la brisa
Con soles de primavera
Para plantar la bandera
Con la luz de tu sonrisa

Aqui se queda la clara,
La entranable tranparencia
De tu querida presencia
Comandante Che Guevara

Tu amor revolucionario
Te conduce a nueva empresa
Donde esperan la firmeza
De tu brazo libertario

Aqui se queda la clara,
La entranable tranparencia
De tu querida presencia
Comandante Che Guevara

Seguiremos adelante
Como junto a ti seguimos
Y con Fidel te decimos
"Hasta Siempre Comandante"

Aqui se queda la clara,
La entranable tranparencia
De tu querida presencia
Comandante Che Guevara

mardi 10 septembre 2013

lundi 9 septembre 2013

http://musique.ados.fr/Jean-Jacques-Goldman/Je-Marche-Seul-t4330.html

L'envers du co-working?!...

...

Cabo
ùltimo
Bienaventurado
Alerta

Le jour du chemin de vie...

La clef du guide...

Avec "Chaque jour que Dieu Fait"...

Pour une foi(s), réfléchissez!!!

jeudi 5 septembre 2013

Crisis crisis HELP! Help!

To work more to earn less...

Le télé-travail?

Bof...

Si encore, c'était pour se rapprocher de sa famille et de ses amis!

Pour clôturer...

... Vers un nouveau Sydney!...


mercredi 4 septembre 2013

A Montpellier?!

Encore et toujours face à la mer...

mardi 3 septembre 2013

lundi 2 septembre 2013

Encore un moment d'exception...

On m'a fait sentir l'initial...

On m'a parfumée... Gratuitement!...

Et puis, j'ai pensé... La faim se manifestant... A un gland...

samedi 31 août 2013

15 JUIN 2004

RETROUVAILLES...


mercredi 28 août 2013

A méditer...

http://www.brainyquote.com/quotes/authors/a/ayn_rand.html

Et même après la mort... L'Amour peut-il vaincre le mauvais sort?

Recueil : Les fleurs du mal


La mort des amants

Nous aurons des lits pleins d'odeurs légères,
Des divans profonds comme des tombeaux,
Et d'étranges fleurs sur des étagères,
Ecloses pour nous sous des cieux plus beaux.

Usant à l'envie leurs chaleurs dernières,
Nos deux coeurs seront deux vastes flambeaux,
Qui réfléchiront leurs doubles lumières
Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux.

Un soir fait de rose et de bleu mystique,
Nous échangerons un éclair unique,
Comme un long sanglot, tout chargé d'adieux ;

Et plus tard un Ange, entr'ouvrant les portes,
Viendra ranimer, fidèle et joyeux,
Les miroirs ternis et les flammes mortes.

Au crépuscule... L'Amour refleurit...?!



Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie


Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle,
Assise auprès du feu, dévidant et filant,
Direz, chantant mes vers, en vous émerveillant :
« Ronsard me célébrait du temps que j’étais belle ! »
Lors, vous n’aurez servante oyant telle nouvelle,
Déjà sous le labeur à demi sommeillant,
Qui au bruit de Ronsard ne s’aille réveillant,
Bénissant votre nom de louange immortelle.
Je serais sous la terre, et, fantôme sans os,
Par les ombres myrteux je prendrai mon repos ;
Vous serez au foyer une vieille accroupie,
Regrettant mon amour et votre fier dédain.
Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain :
Cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie.
Pierre de Ronsard, Sonnets pour Hélène, 1587

Que dire? Entre ciel et terre, aussi l'Amour...

Ces vers magnifient les sentiments pour toujours...

Recueil : Les chants du crépuscule


Au bord de la mer

Vois, ce spectacle est beau. - Ce paysage immense
Qui toujours devant nous finit et recommence ;
Ces blés, ces eaux, ces prés, ce bois charmant aux yeux ;
Ce chaume où l'on entend rire un groupe joyeux ;
L'océan qui s'ajoute à la plaine où nous sommes ;
Ce golfe, fait par Dieu, puis refait par les hommes,
Montrant la double main empreinte en ses contours,
Et des amas de rocs sous des monceaux de tours ;
Ces landes, ces forêts, ces crêtes déchirées ;
Ces antres à fleur d'eau qui boivent les marées ;
Cette montagne, au front de nuages couvert,
Qui dans un de ses plis porte un beau vallon vert,
Comme un enfant des fleurs dans un pan de sa robe ;
La ville que la brume à demi nous dérobe,
Avec ses mille toits bourdonnants et pressés ;
Ce bruit de pas sans nombre et de rameaux froissés,
De voix et de chansons qui par moments s'élève ;
Ces lames que la mer amincit sur la grève,
Où les longs cheveux verts des sombres goëmons
Tremblent dans l'eau moirée avec l'ombre des monts ;
Cet oiseau qui voyage et cet oiseau qui joue ;
Ici cette charrue, et là-bas cette proue,
Traçant en même temps chacune leur sillon ;
Ces arbres et ces mâts, jouets de l'aquilon ;
Et là-bas, par-delà les collines lointaines,
Ces horizons remplis de formes incertaines ;
Tout ce que nous voyons, brumeux ou transparent,
Flottant dans les clartés, dans les ombres errant,
Fuyant, debout, penché, fourmillant, solitaire,
Vagues, rochers, gazons, - regarde, c'est la terre !

Et là-haut, sur ton front, ces nuages si beaux
Où pend et se déchire une pourpre en lambeaux ;
Cet azur, qui ce soir sera l'ombre infinie ;
Cet espace qu'emplit l'éternelle harmonie ;
Ce merveilleux soleil, ce soleil radieux
Si puissant à changer toute forme à nos yeux
Que parfois, transformant en métaux les bruines,
On ne voit plus dans l'air que splendides ruines,
Entassements confus, amas étincelants
De cuivres et d'airains l'un sur l'autre croulants,
Cuirasses, boucliers, armures dénouées,
Et caparaçons d'or aux croupes des nuées ;
L'éther, cet océan si liquide et si bleu,
Sans rivage et sans fond, sans borne et sans milieu,
Que l'oscillation de toute haleine agite,
Où tout ce qui respire, ou remue, ou gravite,
A sa vague et son flot, à d'autres flots uni,
Où passent à la fois, mêlés dans l'infini,
Air tiède et vents glacés, aubes et crépuscules,
Bises d'hiver, ardeur des chaudes canicules,
Les parfums de la fleur et ceux de l'encensoir,
Les astres scintillant sur la robe du soir,
Et les brumes de gaze, et la douteuse étoile,
Paillette qui se perd dans les plis noirs du voile,
La clameur des soldats qu'enivre le tambour,
Le froissement du nid qui tressaille d'amour,
Les souffles, les échos, les brouillards, les fumées,
Mille choses que l'homme encor n'a pas nommées,
Les flots de la lumière et les ondes du bruit,
Tout ce qu'on voit le jour, tout ce qu'on sent la nuit ;
Eh bien ! nuage, azur, espace, éther, abîmes,
Ce fluide océan, ces régions sublimes
Toutes pleines de feux, de lueurs, de rayons,
Où l'âme emporte l'homme, où tous deux nous fuyons,
Où volent sur nos fronts, selon des lois profondes,
Près de nous les oiseaux et loin de nous les mondes,
Cet ensemble ineffable, immense, universel,
Formidable et charmant, - contemple, c'est le ciel !

Oh oui ! la terre est belle et le ciel est superbe ;
Mais quand ton sein palpite et quand ton oeil reluit,
Quand ton pas gracieux court si léger sur l'herbe
Que le bruit d'une lyre est moins doux que son bruit ;

Lorsque ton frais sourire, aurore de ton âme,
Se lève rayonnant sur moi qu'il rajeunit,
Et de ta bouche rose, où naît sa douce flamme,
Monte jusqu'à ton front comme l'aube au zénith ;

Quand, parfois, sans te voir, ta jeune voix m'arrive,
Disant des mots confus qui m'échappent souvent,
Bruit d'une eau qui se perd sous l'ombre de sa rive
Chanson d'oiseau caché qu'on écoute en rêvant ;

Lorsque ma poésie, insultée et proscrite,
Sur ta tête un moment se repose en chemin ;
Quand ma pensée en deuil sous la tienne s'abrite,
Comme un flambeau de nuit sous une blanche main ;

Quand nous nous asseyons tous deux dans la vallée ;
Quand ton âme, soudain apparue en tes yeux,
Contemple avec les pleurs d'une soeur exilée,
Quelque vertu sur terre ou quelque étoile aux cieux ;

Quand brille sous tes cils, comme un feu sous les branches,
Ton beau regard, terni par de longues douleurs ;
Quand sous les maux passés tout à coup tu te penches,
Que tu veux me sourire et qu'il te vient des pleurs ;

Quand mon corps et ma vie à ton souffle résonnent,
Comme un tremblant clavier qui vibre à tout moment ;
Quand tes doigts, se posant sur mes doigts qui frissonnent,
Font chanter dans mon coeur un céleste instrument ;

Lorsque je te contemple, ô mon charme suprême !
Quand ta noble nature, épanouie aux yeux,
Comme l'ardent buisson qui contenait Dieu même,
Ouvre toutes ses fleurs et jette tous ses feux ;

Ce qui sort à la fois de tant de douces choses,
Ce qui de ta beauté s'exhale nuit et jour,
Comme un parfum formé du souffle de cent roses,
C'est bien plus que la terre et le ciel, - c'est l'amour !

Cette liberté que l'on veut trouver partout...

Fin des vacances et le blues de ne pas avoir pu toucher, rencontrer, aimer quelques minutes son meilleur ami caméléon... Cela donne parfois le tournis mais c'est bon...



Liberté


Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable de neige
J’écris ton nom
Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J’écris ton nom
Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J’écris ton nom
Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l’écho de mon enfance
J’écris ton nom
Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J’écris ton nom
Sur tous mes chiffons d’azur
Sur l’étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J’écris ton nom
Sur les champs sur l’horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J’écris ton nom
Sur chaque bouffée d’aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J’écris ton nom
Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l’orage
Sur la pluie épaisse et fade
J’écris ton nom
Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J’écris ton nom
Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J’écris ton nom
Sur la lampe qui s’allume
Sur la lampe qui s’éteint
Sur mes raisons réunies
J’écris ton nom
Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J’écris ton nom
Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J’écris ton nom
Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J’écris ton nom
Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J’écris ton nom
Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attendries
Bien au-dessus du silence
J’écris ton nom
Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J’écris ton nom
Sur l’absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J’écris ton nom
Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l’espoir sans souvenir
J’écris ton nom
Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer
Liberté
Paul Eluard, Poésies et vérités, 1942

Toujours les oiseaux entre ciel et terre... Symboles de liberté!


Les oies sauvages

Tout est muet, l'oiseau ne jette plus ses cris.
La morne plaine est blanche au loin sous le ciel gris.
Seuls, les grands corbeaux noirs, qui vont cherchant leurs proies,
Fouillent du bec la neige et tachent sa pâleur.

Voilà qu'à l'horizon s'élève une clameur ;
Elle approche, elle vient, c'est la tribu des oies.
Ainsi qu'un trait lancé, toutes, le cou tendu,
Allant toujours plus vite, en leur vol éperdu,
Passent, fouettant le vent de leur aile sifflante.

Le guide qui conduit ces pèlerins des airs
Delà les océans, les bois et les déserts,
Comme pour exciter leur allure trop lente,
De moment en moment jette son cri perçant.

Comme un double ruban la caravane ondoie,
Bruit étrangement, et par le ciel déploie
Son grand triangle ailé qui va s'élargissant.

Mais leurs frères captifs répandus dans la plaine,
Engourdis par le froid, cheminent gravement.
Un enfant en haillons en sifflant les promène,
Comme de lourds vaisseaux balancés lentement.
Ils entendent le cri de la tribu qui passe,
Ils érigent leur tête ; et regardant s'enfuir
Les libres voyageurs au travers de l'espace,
Les captifs tout à coup se lèvent pour partir.
Ils agitent en vain leurs ailes impuissantes,
Et, dressés sur leurs pieds, sentent confusément,
A cet appel errant se lever grandissantes
La liberté première au fond du coeur dormant,
La fièvre de l'espace et des tièdes rivages.
Dans les champs pleins de neige ils courent effarés,
Et jetant par le ciel des cris désespérés
Ils répondent longtemps à leurs frères sauvages.

I have a dream... So do you???

Les oiseaux comme des traits d'union entre le ciel et la mer...

Jacques Prévert
Le gardien du phare aime trop les oiseaux

Des oiseaux par milliers volent vers les feux
Par milliers ils tombent par milliers ils se cognent
Par milliers aveuglés par milliers assommés
Par milliers ils meurent
.
Le gardien ne peut supporter des choses pareilles
Les oiseaux il les aime trop
Alors il dit Tant pis je m'en fous !
Et il éteint tout
.
Au loin un cargo fait naufrage
Un cargo venant des îles
Un cargo chargé d'oiseaux
Des milliers d'oiseaux des îles
Des milliers d'oiseaux noyés.

samedi 24 août 2013

Souvenirs de Breizh...

La magie jouerait-elle???... Depuis Brocéliande???